Alors que Céline Dion vient d’être condamnée par la justice américaine à verser plusieurs millions de dollars à son ancien agent, The Guardian révèle que René Angélil ne serait pas étranger à cette sordide affaire.
Au cœur d’un litige financier l’opposant à son ancien agent Rob Prinz et à l’agence IMC Partners au sujet de commissions non payées, Céline Dion a été condamnée à leur verser plusieurs millions de dollars ce jeudi 19 novembre. Alors que la Commission du Travail californienne a jugé que la diva devait bel et bien de l’argent à ses anciens représentants, cette dernière, se sentant “trahie“, a d’ores et déjà annoncé son intention de faire appel. Or, comme le souligne The Guardian, le nom de René Angélil ne serait pas étranger à l’affaire.
Et pour cause, le contrat de Rob Prinz établit que ce dernier recevra, et ce, jusqu’en 2026, entre 1,5% et 3% de commission sur les concerts de Céline Dion. Un taux qui aurait été convenu avec René Angélil en personne avant sa disparition, puis reporté par Aldo Giampaolo, manager nommé par l’époux de l’artiste pour lui succéder avant d’être écarté l’année suivante.
René “était toujours juste envers les gens avec qui nous travaillions”
Meurtrie, Céline Dion accuse de son côté ses anciens agents de malhonnêteté. “Quand René était en vie, il s’occupait de mes affaires et il était toujours juste envers les gens avec qui nous travaillions”, s’est-elle insurgée dans un communiqué relayé par Deadline, et de conclure : “il m’a appris à faire pareil. Parce qu’il n’était pas là pour me défendre lors de cette audience, j’ai l’impression que Mr Prinz et ICM ont profité de moi avec leurs exigences financières ainsi qu’en révélant des détails confidentiels sur mes contrats. Je me sens trahie”.
Crédits photos : AGENCE / BESTIMAGE
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