Lorie Pester était à l’honneur dans 50 Minutes Inside, samedi 4 mai 2019. Des images inédites de son départ de Demain nous appartient ont été dévoilée. Ensuite, la chanteuse et actrice de 37 ans est revenue sur son envie de devenir maman. Un rêve qu’elle peine à réaliser, notamment à cause de son endométriose, une maladie gynécologique qui a de lourdes conséquences sur la fertilité.
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“Ça ne fait pas longtemps que j’ai envie, et ce n’est pas par rapport à l’âge non plus. C’est juste que… Je ne sais pas, chaque femme a un déclic et voilà. Il faut juste se sentir bien dans sa tête, dans ses baskets et puis sûrement avoir rencontré la bonne personne aussi…“, a-t-elle confié devant les caméras de l’émission de TF1. Lorie n’a toutefois pas souhaité en dire plus sur sa vie amoureuse.
Le 24 mars dernier, c’est Sept à huit qui diffusait un portrait de la belle blonde. Nous avons donc appris que c’est vers l’âge de 34 ans qu’elle a découvert sa maladie, à la suite d’une grossesse extra-utérine. C’est en l’opérant que les médecins ont découvert qu’elle était atteinte d’endométriose. “J’étais anxieuse parce qu’on venait de m’apprendre que j’avais une maladie et d’un autre côté, j’étais soulagée parce que je savais pourquoi j’avais ces douleurs. (…) J’ai un traitement qui arrête la propagation de la maladie, mais je ne suis pas guérie. Et ça peut aussi nous empêcher d’avoir des enfants“, avait-elle précisé.
Dans l’espoir de devenir mère, Lorie a fait congeler ses ovocytes en Espagne car, selon la loi française, elle n’était pas assez malade pour en bénéficier en France. Maintenant que sa maladie est connue de tous, elle met un point d’honneur à faire évoluer la loi française et n’a pas manqué d’adresser une lettre ouverte à Emmanuel Macron : “Je lui ai dit que j’étais déçue, en colère, que je ne comprenais pas pourquoi aujourd’hui, en 2019, une femme ne peut pas congeler ses ovocytes sans justifier d’une maladie sévère. Tous nos pays voisins le font et les hommes peuvent congeler leurs spermatozoïdes avec une simple ordonnance. Pourquoi ?” Une initiative qui lui a permis de rencontrer Agnès Buzyn, la ministre des Solidarités et de la Santé, qui l’a écoutée et lui a demandé ce qu’elle avait vécu.