Il y avait beaucoup de monde dans les rues de Moscou dimanche 25 juin, mais peu de gens avaient envie de commenter la journée de samedi après la tentative de rebellion d’Evgueni Prigojine à la tête du groupe paramilitaire Wagner, qui a fait trembler le Kremlin. “Hier n’a pas existé”, lâche un passant en poursuivant sa route. D’autres restent un peu sidérés comme Maria : “Je ne regarde pas beaucoup les informations et je ne connais pas grand-chose à la politique, explique-t-elle. Et je ne sais pas comment réagir”.
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Ceci dit la perspective de voir débarquer une petite armée dans la ville n’a pas terrorisé la grande majorité des Moscovites. Question d’habitude selon Igor : “Non, ce n’est pas si effrayant. Nous n’avons peur de rien, nous sommes en Russie !”
“Depuis les années 1990, nous sommes habitués à tout. Tout se passe bien !”
Igor, un Moscovite
à franceinfo
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