Alors que beaucoup soupçonnent Julie Bocquet d’agir par intérêt, la législation en vigueur outre-Quiévrain lui interdit toute prétention à l’héritage de Claude François.
C’est un point important du “dossier” Julie Bocquet qui a été levé hier soir sur France 5. Invité de l’émission C à vous, François Pommès – le réalisateur du documentaire Claude François, le dernier pharaon programmé samedi à 20h50 sur Paris Première – a calmé les inquiétudes de nombreux fans. Alors qu’Anne-Elisabeth Lemoine demandait à M. Pommès si Julie pouvait prétendre à l’héritage de son père, sa réponse a été sans appel : “Non, la loi belge est claire à ce sujet : on ne peut pas hériter de la part de ses parents biologiques quand on a été adopté de façon plénière.”
La jeune femme est d’ailleurs parfaitement consciente de cela, comme elle vient de le confirmer au Parisien : “Je ne veux pas d’argent. D’ailleurs, je n’y ai pas le droit car je suis adoptée et j’hériterai de mes parents adoptifs “. Abandonnée à la naissance par sa mère, Fabienne, Julie a provoqué un profond séisme dans le coeur des amoureux de Claude François, comme chez ses héritiers légitimes, ses fils, Marc et Claude François Junior. Elle leur a d’ailleurs écrit une lettre poignante.
Aux côtés d’Olivier Royant, directeur de la rédaction de Paris Match, François Pommès a tenu sur France 5 à souligner l’importance que revêt cette affaire pour la communauté des admirateurs de “Cloclo” : “Il ne faut pas oublier que Claude François c’est une légende. La reconnaître comme l’une de ces enfants, c’est réécrire, compléter la biographie.”
Crédits photos : Bestimage
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